Dans les jours anciens, le cancer n'avait pas de traitement. Après quelque temps est venu de la chirurgie. Mais même après une chirurgie a été effectuée il y avait une possibilité de cellules caner revenir. Pour minimiser ce et de faire de la chirurgie simple, en l'an 1940, une méthode appelée chimiothérapie a commencé à émerger. Le but ultime est de tuer les cellules cancéreuses présentes dans l'organisme en passant médicaments anti-cancer dans le corps.
Tout en offrant le traitement de chimiothérapie en utilisant différents types de médicaments selon le stade du cancer, parfois, les cellules cancéreuses peuvent résister au traitement proposé. C'est ce qu'on appelle aussi la résistance aux médicaments de chimio. Même la chimiothérapie peut échouer parfois trop.
Sur le temps d'effectuer le traitement de chimiothérapie, certaines cellules infectées peuvent ne pas répondre au traitement. En sens, ils ne sont pas tués. Une fois qu'ils commencent à se multiplier, la résistance offerte sera plus. Une cellule infectée peut produire plusieurs copies d'un gène. Ce facteur d'amplification du gène rend les médicaments de chimiothérapie inactives et inefficaces.
Avec l'aide d'une molécule appelée P-glycoprotéine, les cellules infectées peuvent pomper les drogues injectées dans le corps et donc le rendant inactif. Les cellules cancéreuses apprennent également à briser les paires d'ADN produites par les médicaments pour tuer les cellules défectueuses.
C'est la raison pour laquelle les médicaments sont administrés en combinaison pour tuer les cellules infectées. Si le médecin utilise un seul médicament, les cellules cancéreuses peuvent apprendre à inactiver le médicament inséré dans le corps. Donc, le choix de la combinaison de médicaments droite serait le premier aspect pour tout médecin, tout en traitant un patient atteint de cancer.
